Une maison de poupée
Aucune autre œuvre littéraire au monde n’eut autant d’impact sur le mouvement d’émancipation des femmes que la pièce d’Ibsen « Une maison de poupée ».
DATES
Vendredi 20 mars à 20 h
Samedi 21 mars à 20 h
Dimanche 22 mars à 17 h
Jeudi 26 mars à 20 h
Vendredi 27 mars à 20 h
Samedi 28 mars à 20 h
Dimanche 29 mars à 17 h
TARIFS
10 €
8 € (adhérents et - 18 ans)
LIEU
MJC Héritan
Dans le cadre du Festival Ô Féminin
Création du Pendart, pièce en 3 actes de Henrik Ibsen
Mise en scène : Christian Daujeard - Régie et création des sons et lumières : Estelle Gauthier et Baptiste Escoffier - Création et fabrication des décors : Claude Mourrat - Décoration et costumes : Catherine Daujeard
Comédiens : Nora Helmer : Eva Chauvet - Torvald, son époux : Mathias Rothblez - Kirsten Linde : Sara Vassy - Astrid Krogstad : Nathalie Vermel - Le docteur Rank : Jean[1]François Poujeade - Anne-Marie, la bonne d’enfant des Helmer : Maryse Gallay - Hélène, la femme de chambre des Helmer : Catherine Daujeard - Les deux enfants des Helmer, Emmy et Olaf : Juliette Rothblez et Gabin Bory - Le livreur : Claude Mourrat
Aucune autre œuvre littéraire au monde n’eut autant d’impact sur le mouvement d’émancipation des femmes que la pièce d’Ibsen « Une maison de poupée ».
Ibsen ne prône pas l’égalité hommes-femmes, à laquelle il ne croît pas – il voit bien que la femme a quelque chose en propre, quelque chose d’artistique, de jeune, un instinct génial qui va droit à la solution juste, et qui vaut bien le sens des affaires. Il reste que le problème pour la femme est de résister à une Société construite par l’homme, pour l’homme, avec des règles masculines.
Écrite en 1879 mais intemporelle, pièce majeure du répertoire théâtral universel, « Une maison de poupée » est construite comme une tragédie qui va entraîner Nora dans un tourbillon de vérité et de liberté, pour emporter dans une suprême bourrasque une fragile et attachante poupée.