Parce qu’elle s’interroge en permanence sur son identité, l’éducation populaire est portée à regarder son histoire. Sans pouvoir prétendre apporter des réponses à des questions qui dépassent de beaucoup le cadre de cette intervention, on s’efforcera d’évoquer quelques moments qui ont marqué l’éducation populaire de la fin du XIXème siècle aux années 1970, en lien en particulier avec les transformations de l’école.

On s’intéressera aussi à ce qu’il est convenu d’appeler le renouveau de l’éducation populaire depuis un peu plus d’une une vingtaine d’années. De nouveaux acteurs s’en réclament : ATD Quart-Monde ou ATTAC ont un temps revendiqué l’inscription de leurs projets dans l’éducation populaire, de nouvelles universités populaires ont vu le jour, tandis que fleurissaient de multiples initiatives d’éducation politique des adultes.

Mais ce renouveau, dans lesquels certains diagnostiquent une certaine dilution, s’accompagne aussi dans un contexte difficile (mutations de l’engagement, difficultés économiques) du maintien d’actions dont les racines sont plus anciennes.

Parce qu’elle s’interroge en permanence sur son identité, l’éducation populaire est portée à regarder son histoire. Sans pouvoir prétendre apporter des réponses à des questions qui dépassent de beaucoup le cadre de cette intervention, on s’efforcera d’évoquer quelques moments qui ont marqué l’éducation populaire de la fin du XIXème siècle aux années 1970, en lien en particulier avec les transformations de l’école.

On s’intéressera aussi à ce qu’il est convenu d’appeler le renouveau de l’éducation populaire depuis un peu plus d’une une vingtaine d’années. De nouveaux acteurs s’en réclament : ATD Quart-Monde ou ATTAC ont un temps revendiqué l’inscription de leurs projets dans l’éducation populaire, de nouvelles universités populaires ont vu le jour, tandis que fleurissaient de multiples initiatives d’éducation politique des adultes.

Mais ce renouveau, dans lesquels certains diagnostiquent une certaine dilution, s’accompagne aussi dans un contexte difficile (mutations de l’engagement, difficultés économiques) du maintien d’actions dont les racines sont plus anciennes.

Parce qu’elle s’interroge en permanence sur son identité, l’éducation populaire est portée à regarder son histoire. Sans pouvoir prétendre apporter des réponses à des questions qui dépassent de beaucoup le cadre de cette intervention, on s’efforcera d’évoquer quelques moments qui ont marqué l’éducation populaire de la fin du XIXème siècle aux années 1970, en lien en particulier avec les transformations de l’école.

On s’intéressera aussi à ce qu’il est convenu d’appeler le renouveau de l’éducation populaire depuis un peu plus d’une une vingtaine d’années. De nouveaux acteurs s’en réclament : ATD Quart-Monde ou ATTAC ont un temps revendiqué l’inscription de leurs projets dans l’éducation populaire, de nouvelles universités populaires ont vu le jour, tandis que fleurissaient de multiples initiatives d’éducation politique des adultes.

Mais ce renouveau, dans lesquels certains diagnostiquent une certaine dilution, s’accompagne aussi dans un contexte difficile (mutations de l’engagement, difficultés économiques) du maintien d’actions dont les racines sont plus anciennes.

Parce qu’elle s’interroge en permanence sur son identité, l’éducation populaire est portée à regarder son histoire. Sans pouvoir prétendre apporter des réponses à des questions qui dépassent de beaucoup le cadre de cette intervention, on s’efforcera d’évoquer quelques moments qui ont marqué l’éducation populaire de la fin du XIXème siècle aux années 1970, en lien en particulier avec les transformations de l’école.

On s’intéressera aussi à ce qu’il est convenu d’appeler le renouveau de l’éducation populaire depuis un peu plus d’une une vingtaine d’années. De nouveaux acteurs s’en réclament : ATD Quart-Monde ou ATTAC ont un temps revendiqué l’inscription de leurs projets dans l’éducation populaire, de nouvelles universités populaires ont vu le jour, tandis que fleurissaient de multiples initiatives d’éducation politique des adultes.

Mais ce renouveau, dans lesquels certains diagnostiquent une certaine dilution, s’accompagne aussi dans un contexte difficile (mutations de l’engagement, difficultés économiques) du maintien d’actions dont les racines sont plus anciennes.

Parce qu’elle s’interroge en permanence sur son identité, l’éducation populaire est portée à regarder son histoire. Sans pouvoir prétendre apporter des réponses à des questions qui dépassent de beaucoup le cadre de cette intervention, on s’efforcera d’évoquer quelques moments qui ont marqué l’éducation populaire de la fin du XIXème siècle aux années 1970, en lien en particulier avec les transformations de l’école.

On s’intéressera aussi à ce qu’il est convenu d’appeler le renouveau de l’éducation populaire depuis un peu plus d’une une vingtaine d’années. De nouveaux acteurs s’en réclament : ATD Quart-Monde ou ATTAC ont un temps revendiqué l’inscription de leurs projets dans l’éducation populaire, de nouvelles universités populaires ont vu le jour, tandis que fleurissaient de multiples initiatives d’éducation politique des adultes.

Mais ce renouveau, dans lesquels certains diagnostiquent une certaine dilution, s’accompagne aussi dans un contexte difficile (mutations de l’engagement, difficultés économiques) du maintien d’actions dont les racines sont plus anciennes.

Parce qu’elle s’interroge en permanence sur son identité, l’éducation populaire est portée à regarder son histoire. Sans pouvoir prétendre apporter des réponses à des questions qui dépassent de beaucoup le cadre de cette intervention, on s’efforcera d’évoquer quelques moments qui ont marqué l’éducation populaire de la fin du XIXème siècle aux années 1970, en lien en particulier avec les transformations de l’école.

On s’intéressera aussi à ce qu’il est convenu d’appeler le renouveau de l’éducation populaire depuis un peu plus d’une une vingtaine d’années. De nouveaux acteurs s’en réclament : ATD Quart-Monde ou ATTAC ont un temps revendiqué l’inscription de leurs projets dans l’éducation populaire, de nouvelles universités populaires ont vu le jour, tandis que fleurissaient de multiples initiatives d’éducation politique des adultes.

Mais ce renouveau, dans lesquels certains diagnostiquent une certaine dilution, s’accompagne aussi dans un contexte difficile (mutations de l’engagement, difficultés économiques) du maintien d’actions dont les racines sont plus anciennes.

Parce qu’elle s’interroge en permanence sur son identité, l’éducation populaire est portée à regarder son histoire. Sans pouvoir prétendre apporter des réponses à des questions qui dépassent de beaucoup le cadre de cette intervention, on s’efforcera d’évoquer quelques moments qui ont marqué l’éducation populaire de la fin du XIXème siècle aux années 1970, en lien en particulier avec les transformations de l’école.

On s’intéressera aussi à ce qu’il est convenu d’appeler le renouveau de l’éducation populaire depuis un peu plus d’une une vingtaine d’années. De nouveaux acteurs s’en réclament : ATD Quart-Monde ou ATTAC ont un temps revendiqué l’inscription de leurs projets dans l’éducation populaire, de nouvelles universités populaires ont vu le jour, tandis que fleurissaient de multiples initiatives d’éducation politique des adultes.

Mais ce renouveau, dans lesquels certains diagnostiquent une certaine dilution, s’accompagne aussi dans un contexte difficile (mutations de l’engagement, difficultés économiques) du maintien d’actions dont les racines sont plus anciennes.